Les publications

En 2020, la croissance du nombre de frontaliers n'a pas profité aux résidents français, qui ne représentent qu'un tiers des nouveaux frontaliers. Sur le territoire AGAPE, près de la moitié (44%) des actifs sont des frontaliers, mais leur nombre a stagné sur un an (+0,2%). La principale explication réside dans l'effondrement de l'intérim au Luxembourg, qui a perdu 6 400 postes sur un an, lié au confinement. Notre territoire compterait donc une proportion de frontaliers dans l'intérim plus élevée que dans le Nord Mosellan.

L'INSEE publie bimensuellement un point de conjoncture évaluant les effets économiques de la crise sanitaire du COVID-19.
Pour le point de conjoncture du 7 mai, l'INSEE a annoncé une baisse d'activité pour l'économie française de 33% par rapport à une situation "normale.
Dans ce "Zoom sur...", l'AGAPE propose une première analyse des effets de cette crise sur l'économie de son territoire.

Cette publication fait le point sur l'évolution récente de l'emploi privé. Les dernières actualités sur la crise sanitaire en France et dans le monde laissent, bien sûr, place à de multiples interrogations sur son impact sur le secteur privé.

Comme tous les ans, nous vous proposons de décrypter les tendances démographiques du territoire.

Au 1er trimestre 2019, le Luxembourg compte 461 000 emplois, dont 201 900 frontaliers. Alors que l’économie grand-ducale affiche une santé de fer, celle-ci reste fortement dépendante de la disponibilité de la main-d’œuvre des pays voisins. Cette nouvelle publication de l’Agape fait le point sur les évolutions récentes de l’emploi frontalier sur notre territoire et les met en perspective de la prospective réalisée il y a 10 ans, qui annonçait 210 000 frontaliers en 2020…

Les données des populations légales de 2016, publiées récemment par l’INSEE permettent dorénavant des comparaisons sur des pas de temps identiques (2006-2011 et 2011-2016). La comparaison entre ces deux périodes confirme le ralentissement de la croissance démographique, tant dans le nord-lorrain qu’à l’échelle régionale ou nationale, observé depuis le millésime 2014.

Depuis 2009, le commerce de détail est un secteur d’activité parmi les plus dynamiques de Lorraine Nord qui contribue notamment au rayonnement des grandes zones économiques du territoire.
Néanmoins, il s’agit d’une activité dont l’avenir est source d’incertitude. Face aux évolutions sociétales et aux nouveaux modes de consommation, est- ce que le développement du commerce de détail
en Lorraine Nord est adapté à son contexte ?
Comment l’offre de commerces se positionne-t- elle par rapport à celle de la Région Grand Est ?

La promulgation de la Loi ALUR et celle sur la Simplification de la Vie des Entreprises (SVE) en 2014, et l’approbation de deux schémas de cohérence territoriale (SCoT) sur le territoire de la Lorraine Nord en 2014 et 2015 ont induit des évolutions sur les documents d’urbanisme en Lorraine Nord.
Quelles sont les conséquences sur les documents de planification ? Quel est le nouveau paysage de l’urbanisme en Lorraine Nord ? Quelles perspectives à l’horizon 2020 ?

Après la crise de 2008 et un repli continu de l’emploi privé à partir de 2011, la Lorraine Nord enregistre depuis 2015 une stabilisation de ses effectifs autour de 21 900 salariés.
Quelles dynamiques ont entrainé ces évolutions ? Quels secteurs s’affaiblissent, lesquels se renforcent ? Existe-t-il d’éventuels signes annonciateurs d’une amélioration de la situation économique des emplois salariés sur le territoire ?

Le 1er janvier 2017 sont entrées en vigueur les populations légales 2014, publiées par l’INSEE.
La comparaison entre les périodes 1999-2009 et 2009-2014 met en évidence un ralentissement général de la croissance démographique, tant dans le nord-lorrain qu’à l’échelle régionale ou nationale.